En mars dernier, constatant qu’on ne pouvait plus emporter un vélo non démonté pour aller dans l’Est, j’avais sollicité ma députée pour qu’elle soumette mes (et nos) préoccupations à ce sujet à la ministre des transports (voir article précédent).
La réponse vient d’arriver (un peu tardive, mais Mme Borne a déjà eu fort à faire avec la SNCF!) et elle est (avec la question) sur le site de l’assemblée.
Elisabeth Borne table sur 2 leviers; l’ouverture à la concurrence et la future loi d’orientation sur la mobilité. Pour la concurrence si on peut avoir l’espoir de tomber sur des entreprises moins fermées sur ce sujet que la SNCF espérons que les cahiers des charges pour les attributions de lignes imposeront un minimum de places vélo. On pourrait suggérer à nos députés de proposer un amendement en ce sens lors des discussions sur la loi d’orientation.
A part ça, le blabla habituel ; TER, housses pour vélos démontés (« manipulation qui ne prend que quelques minutes et qui garantit l’accès à tous les trains » dixit Mme Borne!!! ben voyons) et une explication fort intéressante sur l’arrêt de la desserte du grand Est.
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